dimanche 9 août 2009

Kodak Instamatic 255X

Oh kil est bo ! L'appareil typique du communiant dans les années 70 (je ne sais pas si çà les motivait vraiment à communier d'ailleurs). Pas cher, bas bon, mais si facile à utiliser avec sa cassette de film 126! Même le chien pouvait charger un film dans l'appareil !



Il paraîtrait comme quoi que l'obturateur possèderait carrément 2 vitesses différentes (je suppose que l'une d'entre elles est réservée à la synchro avec les "flashcubes" si retro qu'on pouvait mettre dessus).



L'objectif lui ferme à f/11 mais, suprème raffinement sur ce modèle, on règle l'ouverture à l'aide de symboles météo qui agissent sur le diaphragme. En poussant cette bague plus loin, on peut régler l'ouverture en fonction de la distance du sujet pour une exposition convenable au flash. Pas de réglage du nombre guide du flash puisque les seuls à pouvoir être adaptés dessus sont les flashcubes de Mr. Eastman bien entendu. Je trouve qu'ils ont fait fort: inventer un format de film propriétaire et aussi un système de flash particulier... enfin assez vite d'autres fabricants avaient emboité le pas.


Un viseur carré (comme çà on ne se prend pas la tête à décider s'il faut un cadrage portrait ou paysage), un levier d'armement discrètement enfoncé dans le boitier, et une fenêtre montrant s'il y a une cassette dans l'appareil et si oui de quel film ! Est-ce que çà a été inventé sur les Instamatics ce truc là?


Point de vue discrétion, l'obturateur est quasi aussi bruyant que celui celui de mon Praktica MTL 5B. Par contre Kodak remporte carrément le concours du levier d'armement le plus bruyant!

A ma connaissance plus personne ne fabrique ni film ni flash pour les instamatics, donc c'est pas demain la veille que je pourrai faire un vrai test. Bah!

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